Principe # 11: De Puissants Outils pour la Victoire

Ce qui va MULTIPLIER vos bénédictions!!

La leçon d’aujourd’hui est courte mais très puissante. Dans mes notes, j’avais un principe que j’étais excitée de partager avec vous ET ce pourrait aussi être le principe le plus important qui dépasse de loin tout autre principe dans le domaine de l’obtention des bénédictions dans nos vies.

Commencez à LOUER et à ADORER au MILIEU des FLAMMES DE L’AFFLICTION, lorsqu’une attaque frappe venant de n’importe qui ou de n’importe où. 

Ce principe UNIQUE si utilisé, prouvera être l’un des outils les plus puissants pour la victoire sur n’importe qui et n’importe quoi---et personnellement, je crois que c’est l’un des plus grands privilèges que nous, en tant que croyantes de notre Sauveur béni avons comme grand avantage!  

Ce principe UNIQUE est aussi l’un des principes utilisés les plus négligés. Au lieu de cela, les Croyants répondent exactement de la même manière que les non croyants. Et si rien ne se passe, ils peuvent penser que “garder” leur vrais sentiments négatifs est suffisant. Alors que ce qui va réellement libérer le pouvoir est tout simplement le fait de LE LOUER et de L’ADORER au MILIEU des FLAMMES de l’affliction!  

Nous sommes toutes en guerre, que vous le réalisiez ou non. Ensuite, tristement et bêtement, nous avons tendance à nous concentrer sur la guerre elle-même. Nous commençons instinctivement à “lutter avec la chair et le sang,” parce que nous pouvons voir et entendre la guerre qui fait rage. Mais il y a une plus grande guerre qui fait rage, et c’est cette dernière que Dieu nous dit être vraiment importante.

Une des mes plus grandes guerres est contre cette chair pécheresse qui est la mienne.

Il y a quelques semaines j’ai partagé le désir de mon coeur d’avoir plus d’intimité avec notre précieux Seigneur. Bien sûr, quand je m’écriais pour plus de LUI, j’oubliais complètement que dans l’accomplissement de ce cri de mon coeur, plus de MOI aura besoin de partir afin que je puisse avoir plus de LUI.

La chair qui brûle est une expérience douloureuse et nauséabonde. Mais cette semaine, alors que ma chair commençait à brûler, j’ai choisi de me concentrer sur l’image de ceux qui ont été vraiment martyrisés pour Le Christ. Ils ont joyeusement brûlés alors qu’ils étaient enchainés à un piquet. Certains ont même embrassé le piquet qui allaient les tenir. Remarquablement, chacun embrassait la chose même qui les maintiendrait tandis que leur chair brûlerait.

Cette vision et cette réalisation m’ont amené à la compréhension du pourquoi je lutte autant pendant que ma “chair” brûle, et c’est due à une chose--- je n’ai pas réussi à “embrasser” ce qu’IL a choisi pour me garder au calme. Ca me répugne plutôt et je lutte pour obtenir la liberté; priant même pour qu’IL l'enlève.

Ça me rappelle les jeunes enfants qui ne voudraient pas restés immobiles ou assis pendant que le médecin ou l'infirmière essaie de nettoyer une plaie ou de leur faire une injection. Suis-je différente si je lutte pour m'éloigner du Grand Médecin qui essaie de me guérir? Me guérir au plus profond de mon âme?

Pourtant, les plus grands martyres étaient ceux qui chantaient des chansons au milieu des flammes, rendant gloire à Dieu. Je ne suis pas satisfaite de simplement rester  “assise immobile” pendant que Le Seigneur fait la chirurgie du coeur, épluche les couches de dureté qui ont besoin de partir. Je veux et j’ai besoin d’entrer dans les flammes en chantant. Pourquoi? Parce que j’ai LA CONNAISSANCE que c’est là que j’aurai l’opportunité de marcher avec Jésus--au milieu des flammes!   

Rappelez-vous les trois jeunes qui marchaient dans les flammes,  volontiers? Ça dit qu’il y avait un quatrième, Jésus, et pendant qu’ils marchaient avec Lui, ils ont été “déliés” de ce qui les avaient ligoté et plus tard, sont sortis sans même sentir la fumée, et comme résultat, ces jeunes ont changé le coeur de la personne qui avait ordonné qu’ils soient jeté dedans ET comme résultat, ces jeunes ont été promus dans leur monde pour avoir un plus grand impact sur une nation. (Lisez Daniel 3:20-30)   

Depuis quelques mois maintenant je suis entrain de lire et méditer sur un verset, Esaïe 43:2, qui me dit qu’IL sera avec moi dans les eaux profondes, dans la rivière déchaînée, au milieu des flammes (et que je ne serai pas brûlée). Donc je n’ai pas couru, je n’ai pas crié, mais hélas, je n’ai pas non plus CHANTE au Seigneur.

Heureusement, Dieu n’a pas fini avec moi. Tout ce qu’IL a commencé, IL le terminera. Il y aura beaucoup d’opportunités pour “chanter dans les flammes”, et plutôt que de paniquer, au contraire profiter de la chaleur, embrasser ce qui me garde calme, ainsi je glorifierais Mon Sauveur, Lui chantant des louanges et à Son nom.

Il m’a fallu un jour pour me souvenir de chanter--”mieux vaut tard que jamais” dit un dicton.

Et ceci est une autre raison pour laquelle je reste émerveillée par la “fidélité de Dieu” et son précieux amour envers moi. Si je me réjouis en Lui le long de chaque journée, principalement parce qu’Il est toujours Fidèle pour nous donner ce que nous voulons vraiment. Il va aussi au delà de me donner ce que je veux et me donne ce dont j’ai besoin---ceci est souvent douloureux ou saupoudré de souffrance, au milieu de l’obscurité ou sous de lourds nuages. Et c’est dans l’obscurité ou la souffrance lorsque j’oublie l’ardent désir de mon coeur, j’oublie toutes ces fois où je Lui ai demandé de m’aider à être plus proche et devenir plus intime dans ma relation avec L’AMOUR de ma vie. Donc étant oublieuse de ce que je veux vraiment, j’oublie qu’IL est tout simplement entrain d’accomplir ce désir de mon coeur, ce qui signifie que je ne suis pas entrain de travailler avec Lui et rate ainsi facilement les bénédictions qui viennent de la LOUANGE et DE L’ADORATION au milieu des FLAMMES de l'affliction -- ainsi que ce qu’IL allait  fidèlement susciter en moi.

Alors, ensemble (cette semaine et toujours), rappelons-nous les unes aux autres de lever nos voix en chanson à notre Sauveur, notre Libérateur, notre Véritable Amour. Joyeusement, embrassons le piquet qui nous maintient ferme dans notre foi afin de finir cette tâche qui consiste à brûler cette chair misérable qui est la nôtre.    

Moins de nous signifie plus de Lui.

Plus de Lui en nous signifie que non seulement nous sommes plus joyeuses et vivons la vie plus abondante qu’IL est mort pour nous donner, mais de plus nous serons de grandes ambassadrices pour Lui, pour ramener les perdus, les blessés, et les désespérés vers le Grand et Puissant Médecin.

Chantez! Maintenant, il ne reste plus qu’à…